Nom : Winslow
Prénom : Paul
Age : 23 ans
Clan : Hunter
Description physique : Paul n'est pas spécialement moche, il a les cheveux blonds et des yeux bleus absolument désarmant. Du coté de son physique il est plutôt mince sans être maigre, il n'a pas spécialement de muscle mais il ne s'en soucie guêre. Il n'est pas un dragueur mais il à souvent été dragué et sa lui arrive encore aujourd'hui osons l'avouer. Paul est souvent habiller tout de noir.Un pull et un pantalon, très rarement un jean's uniquement pour les grandes occasions.
Description mental : Si son physique lui donne un visage d'ange, du coté du mental c'est pas du tout sa. Déja avant d'entrer chez les hunters, Paul était un raciste endurci et cela n'a pas changé envers les vampires. Si il n'a plus rien contre les étrangers à présent, il tue et torture ces proies avec un plaisir non caché. En gros Paul est ce que les psychologue pourrait appeller "un gros taré bon à enfermer". Mais sa ne veux pas dire parce qu'il est presque fou qu'il agit au hasard, tout ces coups sont calculés a l'avance et il à souvent une longueur d'avance justement sur ces ennemis, ce qui en fait un adversaire redoutable la plupart du temps. Nombre de ces adversaires se sont fié à sa tête pour se faire une idée de l'ampleur du combattant, et ceux la ne sont jamais revenu pour raconter leurs aventures...
Alignement : Tueur de vampires
Domaine de prédilection : armes à feu et explosifs
Historique : Déja tout petit, Paul n'était pas ce qu'on pouvait appeler un petit garçon normal, a son entrée à l'école enfantine, il mordit un de ces camarades jusqu'au sang tout simplement parce que sa peau était noire. Il eut droit à un blâme de la part de ses professeurs et ces parents durent payer la facture d'hôpital. Une fois rentrée chez lui après cette mésaventure, ces parents le punirent un mois entiers dans sa chambre sans aucune autorisation de sortie. Durant tout ce mois on entendit Paul bricoler dans sa chambre et le jour ou sa mêre se décida enfin à aller voir ce qu'il faisait, elle faillit se faire étrangler par un cable qui avait sauté sur sa gorge et qu'elle avait évité grâce à un reflexe pour le moins surnaturel. Aprés une engueulée monumentale à son fils elle se décida enfin à lui demander ce que ce fil signifiait et Paul haussa les épaules en expliquant placidement avec ses paroles d'enfants que c'était pour: repousser les indésirables. Sa mêre tenta bien de lui demander ce qu'il entendait par indésirable mais elle se heurta à un mur de silence. Elle lui annonca malgré tout que sa punition était levé et qu'il pouvait sortir si il le voulait. Mais Paul répliqua qu'il ne voulait pas sortir car il n'avait pas envie de rencontrer la racaille... Sa mêre quitta la chambre en se demandant ou son fils avait pu apprendre à fabriquer un piêge aussi élaboré, ou il avait pu apprendre des mots pareils, et surtout qui était cette "racaille." Depuis le jour mémorable ou Paul avait mordu un camarade noir, il s'était tenu tranquille jusqu'a l'age de ses 13 ans... L'age ou il dérappa vraiment, 2 jours plus tôt un albanais l'avais traité de con, et Paul n'appréciait évidemment pas, mais qui apprécierait après tout? Mais la la réaction de Paul dépassait vraiment les limites, il se dirigeait rapidement vers l'école armé du fusil de chasse de son pêre, en chemin il tua deux personnes qui tentêrent de l'arrêter, il défonca la serrure de l'école avec une balle, ce qui n'était vraiment pas necessaire vu que la porte était ouverte. Mais c'était aussi pour ne pas avoir à lacher la détente, et aussi, osons l'avouer, pour avoir l'air un peu plus cool, comme dans les westerns. Il trouva rapidement son petit "camarade de classe" et lui colla le canon sur le front. Paul se délécta de l'expression de peur qu'il lisait sur le visage de ce jeune impétinent.non il ne s'en délectait pas, il savourait l'instant présent, il aurait aimé que sa dure eternellement. Mais celui qui avait le canon collé contre le front avait sans doute jugé que le temps que mettait Paul à tirer était sans doute une longue hésitation de sa part, l'erreur est humaine, et dit trois mots qui mirent fin à sa vie plus rapidement que prévu: Chiard t'ose pas... Le coup partit presque instanément, à bout portant. La tête vola en éclat en plusieurs morceaux ensanglanté qui vinrent éclabousser les murs et Paul. Personne d'autre ne se trouvait dans la même piêce car tout le monde avait fui... Une fois ceci achevé Paul jeta son arme à terre et s'assit... Il lecha longuement le sol à terre et éclata de rire. C'est cette vision d'horreur et d'effroi qu'eurent les policiers lorsqu'ils vinrent l'interpeller, et ces derniers s'en rappeleraient toutes leurs vies. Paul se laissa appréhender sans résistance... Les psychiatres le déclarérent atteint de démence et de folie, et le jugérent irrésponsable de ses actes... Quel erreur de leurs part, car Paul n'eut jamais été plus responsable de son acte que ce jour la. Car il avait tout prémédité, le moment ou ses parents ne seraient pas la, le moment ou la rue à traverser serait la plus calme de la journée, tout dans les moindres détails. Il avait même prévu d'être interné dans un hôpital psychiatriques. Ce qui évidemment se fit... 7 ans plus tard, c'est à dire à l'age de 21 ans, Paul fut enfin jugé saint d'esprit par les psychiatres et il ressortit de l'établissement parfaitement libre. Il tenta de voir ses parents mais ses derniers avaient déménagé sans laisser d'adresse...
Ce n'est que plus tard que Paul découvrit les habitants de l'autre monde, comme il les appelait lui même. Le jour ou un vampire avait tenté de lui sucer le sang sans sommation. Il avait tenté de l'approcher par dérrière, mais Paul avait eu comme une vision de danger, et s'était retourné. Le vampire eut surement la plus grosse surprise de sa vie de la part d'un humain... Car il se ramassa un mémorable... poing dans la gueule. Paul ne voulant pas s'arrêter en si bon chemin lui envoya un coup de genou dans les testicules puis pour finir par un coup de coude dans le dos. Le vampire fut proprement assomé et Paul entraperçut les deux canines pointues de l'être qu'il appellerait plus tard: <l'être immonde>. Avec un calme impressionant il en déduisit que les vampires existaient et que ces derniers n'était pas q'une légende populaire. Il chercha un peu du regard sur la place, car après tout, il n'était pas de la même race que lui... C'était donc un étranger. Paul trouva des cordes, en fait les amarres d'un bâteau accroché pas loin et en profita pour attacher l'être immonde. Sa montre affichait 5 heures du matin. Il avait serré les liens à l'extreme car il se referait a la force peu commune qu'il avait lue dans les comptes pour enfant, mais il ne savait plus si c'était pour les loups garous ou les lycans. Paul attendit le réveil du vampire, ce qui se fit une demi heure plus tard, soit à 5h30, l'aube pointait déja gentiment son nez. Le vampire trouva Paul assis en tailleur en face de lui et constata que ces liens n'étaient pas brisable. Il hésita un instant avant de demander
-Que me veux tu?
-Que tu crêve, toi l'étranger
-Comment m'as tu appeler?
-L'étranger, n'est-ce pas cela ton nom? Car après tout tu n'es pas comme moi donc tu dois mourrir...
Sans le savoir Paul venait de prononcer la devise des hunter, un clan qu'il ne connaissait pas encore, mais qu'il connaitrait bien assez vite. Mais le vampire eut vite un rire, il n'avait pas idée de l'heure qu'il était et il ne s'était pas rendu compte que la lumiêre avait légérement augmenter, il reprit sur un ton plus féroce
-Tu ne peux me tuer, l'humain, je n'ai pas de vie mortelle
-Tient donc? Comme cela est bizarre le soleil se leve dans une demi heure?
-Que...? QUOI?
Le vampire tira energiquement sur ces liens, mais une demi heure trop tard, les premiers rayons du soleil éclairait déja sa peau qui se calcina très lentement, ce dernier hurla de douleur et la derniere vision qu'il eut avant d'avoir la mort ultime fut Paul lui crachant dessus et éclatant de rire. Est-il encore bien utile de dire que Paul avait trouvé cela très jouissifs et qu'il avait hâte de recommencer?
Ce qui l'amena à étudier les faiblesse de ses ennemis, a savoir le soleil (une technique qu'il avait déja utilisé et qu'il allait utiliser encore plus d'une fois, rien que pour voir ses ennemis se tordant de douleurs). Autrement il y avait l'argent. Le bel argent... Les balles surtout... Tout ce que Paul avait appris a apprecier par dessus tout. Les armes à feu, qu'il avait appris a manier comme un maître au bout de deux ans d'entrainements. D'autres vampires étaient revenu essayer de venger leur amis, apperemment les nouvelles allaient vite dans le monde vampirique, mais cette fois ce n'était plus Paul qui mettait un poing dans la gueule c'était un Paul surentrainé qu'il devait affronter, et celui qui avait tenu le plus longtemps avait tenu 25 secondes... Juste de quoi amuser Paul. Paul ne sort a présent plus sans ses armes dans son sac, une petite mitrailleuze uzi, et 2 colt 6 coups qui pouvaient se reveler plus que redoutable entre les mains de son possesseur légitime. Dans son sac il possêde aussi de la corde, pour le cas ou il voudrait faire souffrir plus longtemps sa victime. Car il avait appris durant son bref séjour en soin psychiatrique que la souffrance mentale, avec la peur de la mort incluse, valait toutes les douleurs du monde...
