Nom : Stanford
Prénom : Timothy
Age : 25 ans
Clan : aucun
Description physique :
Timothy est châtain, son visage est droit, ses traits bien que fins sont assez masculins, lui donnant de faux airs machos. Son regard est noir et vide, aussi noir qu'un nuit sans lune ni étoiles et suffisamment vide pour ne pas refléter la lumière. D'un naturel sportif, il est élancé et du haut de ses 1m 85 et 70 kilos, son corps cède a ses caprices.
Il a donc tout du play-boy, la classe et le style... sauf peut être le caractère.
Description mentale :
L'être humain en général est plein de surprise, Timothy ne sort pas du lot, imbriqué dans une série de rôle qu'il joue son personnage est difficile a cerner. Flegmatique et mystérieux, son caractère colle amplement à l'image que l'on fait des gens comme lui. Cependant, dans de rares occasion, son coté enfantin et impulsif reprend le dessus, railleur et dragueur il n'a alors plus que l'intelligence des apparences.
Malgré son jeune age, ce qu'il a vécut dans sa vie lui laisse le goût amer de l'expérience, mélancolique et blasé, il en devient parfois sceptique et entêté. Il a ses préceptes, ses lois personnelles, une sens de l'éthique très personnel.
Alignement : Détective privé?
Domaine de prédilection : L'enquête, l'investigation, la recherche et les négociations. (ça se rejoins quoi^^)
Historique :
Timothy n'a pas toujours été cet être calculé et propre sur lui qu'il est a présent, il a comme tout enfant normalement constitué et chanceux eut une enfance balancé entre père et mère, bercé par un amour parental débordant, sa petite enfance ne fut que rires caprices et joies.
Son adolescence fût plus difficile, issue d'une famille riche, né d'un père "parvenu", lui même fils de berger, devenu un avocat important, et d'une mère dont le pedigree ferait pâlir tout les Fox terrier des défilés canins. Il fût longuement trimballé entre les rallyes insupportablement ringards ou des saintes-nitouches commères venaient pour trouver leurs futur maris et les galas ou ses parents le traînait pour montrer a quel point leur famille était belle et harmonieuse, soirées interminables (ou inter-minables..) où sa mère gloussait d'avoir renflouer les caisses familiale se pavanant dans ce milieu qui était le sien et qui, il l'espérait, ne serait pas celui de son fils.
Privilégié, le jeune garçon s'en voulait d'être riche alors que dehors les gens mourraient e froid, cependant cette apitoiement devint vite de la pitié puis de la condescendance.
Comme tout bon aristocrate, il fit sa scolarité a la Royal Grammar School, école sûrement plus réputé pour le prix exorbitant que devait afficher le chèque qui accompagnait la demande d'inscription que pour les résultats obtenu, même si sans aucun doute, l'un influençait l'autre, en effet beaucoup de parents avisés se refusaient de voir leur monnaie jeté par les fenêtres et incitaient leurs pauvres garnements a travailler plus que de raison.
Timothy quand a lui n'en sortit que plus désireux de s'extirper du microcosme insupportable dont l'hypocrisie et les faux semblant irritait. Son inscription a oxford était faite depuis sa naissance et son destin était tout tracé, enfermé dans ce cycle, le jeune homme fut bien vite obnubilé par la liberté. Liberté par la fugue que les bonnes manières trop bien assimilées par le jeune garçon avaient empêchées.
De toute façon, il n'en eut pas le temps, il devait avoir 15 ans le jour fatidique où sa vie se détourna de toute la rationalité aristocrate...
Alors que la famille allait s'afficher a une énième soirée de gala, un bruit sourd parvint aux oreilles du jeune enfant, alors que quelque chose fit se fissurer le pare-brise de la rolls, le chauffeur aux réflexes imparfaits fit une embardé et le véhicule finit son trajet dans un parc publique après avoir traversé la barrière aux barreaux affûtés.
Ainsi il suffisait d'un instant pour tuer 3 personne et changer une vie...
Lorsque le véhicule pénétra la barrière, la tête du chauffeur rencontra violemment le volant, la nuque brisé l'employé mourut sur le coup, pendant ce temps l'un des barreaux pointus de la barrière vint transpercer le corps d'un père qui souriait sectionnant l'aorte dont le liquide écarlate et moite vint asperger l'enfant incrédule, la seule chose que ce père vit fut sa femme traverser le pare-brise pour disparaître dans le noir de la nuit et son dernier réflexe fut le coup de pied qu'il donna a son fils pour que ce dernier sorte du véhicule. A peine sorti, l'enfant fut soufflé par la déflagration alors qu'un rre rauque s'atténuait au loin. Avait il rêvé? Qu'étais ce donc cette tête étrange qui avait frappée le pare-brise?
L'enfant fut ainsi libre, il disparut de la circulation à sa sorti de l'hôpital, il partit pour les états unis, pays de la vie facile ou chacun avait sa chance. Il parvint a l'aide d'une bourse a pénétrer L'élitiste Harvard, une passion ardente pour l'occulte l'avait parcouru depuis le drame, en même tant que cette flamme dans son regard avait disparut. A 20 ans diplômé, accompagné d'une thèse sur les sciences occultes a travers les arts, le jeune homme commença à parcourir le monde en quête d'ouvrage sur le sujet.
C'est ainsi qu'il acheva de parfaire sa science, développant un épicurisme étrange et suivant un code de l'honneur très personnel, il découvrit le monde en lecteur et en toruiste, il découvrit les sports brutaux d'Asie, l'art scriptural égyptien, surement celui qui traitait le plus du surnaturel, il assista à la crise artistique de Corée et prit par dans une guerre civil sud-americaine pour sauver un vieille ecrit hebreux. C'est à son retour de ce stupéfiant tour du monde qu'il comprit.
Il comprit qu'il ne gagnerait pas sa vie ainsi, lire ne rapportait pas...acquerir le savoir ne rapportait rien. Mais débrouillard et courageux, le jeune homme devint une sorte de commissaire priseur spécialisé dans les livres anciens, puis de fil en aiguille in devint détective privée dans la grande ville de Chicago, en marge de son temps, passionné d'histoire et de fables, il prit son rôle a cœur et fut rapidement réputé comme un négociateur hors paire de part un flegme étonnant, mais aussi comme un être imprévisible qui n'avait pas peur de l'adversité, d'une sorte de tête de mule qui parvenait a ses fins et trouvait toujours ce qu'on lui demandait. Il s'ouvrit a l'international, revenant par moment dans cette ville qui l'insupportait ainsi que dans la ville des lumières la capitale d'une France dite chauvine ou il trouva tout a fait sa place.
L'agence de "l'anglais" était vite devenu le dernier truc en vogue, pour toute personne désireuse d'un service, d'un garde du corps ou bien de compagnie. Alors que la vie allait de bon train et que les souvenirs s'effaçaient doucement, le jeune homme fut envoyé sur une nouvelle affaire, une série de meurtre en plein dans la cité phare de l'Europe.
L'affaire fut longue et difficile, éreintante même mais le jeune garçon découvrit enfin l'affaire impliquait un important homme d'affaire dont la société cachait l'étrange comportement lors des changements de lunes....Il vit pour la seconde fois ce visage si caractéristique de ces êtres mi-homme mi-loups, s'il ne parvint pas a l'arrêter, la police local s'en chargea et le corps vint nourrir les poissons de la Seine alors que l'on s'enquit de trouver un zoo déserté. La nouvelle replongea le jeune homme dans une nostalgie douloureuse d'où emergea une rage latente pour tout ce qui était surnaturel, or la seule chose qu'impliquait le surnaturel était de le cotoyer par mégarde...
Timothy n'est pas surhumain, bien qu'il semble développer une sorte de don, une vitesse surprenante, inhumaine; il a ses faiblesses. Il sait se battre comme un roublard, ne s'attachant pas a un sens de l'éthique que ses rudiments de boxe et de sports de combats tels que l'aïkido auraient logiquement impliqués. Sa vue affûté et son flegme font de lui un tireur hors paire et ses deux deserts eagle chromés ne lui ont jamais fait défaut, bien qu'il s'affectionne aux vieux colt 45 ou les pistolets à un coup...il affectionne notement les canons sciés. Il possède toujours un couteau moyen, si affuté qu'un tissu de soie serait découpé rien qu'en se posant dessus.
Depuis peu, il à compris le code hebraïque du livre qu'il a récupéré en Bolivie, les secrets que ce dernier renferme dépasse de loin les limites de son imagination...humaine.
