Obsidienne
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Entrez dans les ténèbres et vous trouverez la Mort en train de jouer aux échecs avec la Gloire...
 
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Meredith Alena
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Meredith Alena


Nombre de messages : 2
Age : 38
Race : Vampire
Date d'inscription : 20/09/2006

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MessageSujet: ..:: Meredith Alena ::..   ..:: Meredith Alena ::.. EmptyMer 20 Sep à 13:48

Nom : Alena

Prénom : Meredith

Surnom : //

Ages:
-Quel âge paraissez vous avoir aux yeux des autres ? Plus de vingt ans
-Quand êtes vous née ? le 25 mars 1472
-Quel âge aviez-vous quand vous avez été étreint ? Dix-neuf ans
-Depuis combien de temps êtes-vous vampire ? Depuis plus de cinq cents ans maintenant.
- Etes-vous plus ou moins mur que vous le semblez ? A ce qu'on raconte, bien plus mûre...

Clan : Tremere

Statut : Sabbat

Votre Sire :
Je sais très peu de choses sur mon sire. Même son nom m'était inconnu. Il vivait dans une cabane au milieu des bois, tel un ermite dans sa retraite. La première fois que j'ai entendu parler de lui, c'était en tant que sorcier très puissant ayant trouvé le secret de la jeunesse éternelle. Lorsque je l'ai rencontré et qu'il a accepté de m'apprendre tout ce qu'il savait, je compris que mon apprentissage serait rude. Il n'a pas toujours été très tendre avec moi, mais il m'a bien appris les choses avant de m'étreindre, me faisant ainsi passer de la vie mortelle à la vie éternelle.

Physique : Je suis, sans me vanter, ce que l'on peut qualifier de nos jours de "belle plante". Un mètre soixante-douze, brune plantureuse aux yeux verts, tout pour séduire, en somme. Mon physique n'est d'ailleurs, j'en ai bien conscience, pas très conforme à l'époque durant laquelle je suis née. Sans doute ma taille est-elle dûe au mètre quatre-vingt-cinq de mon père, grand seigneur dans tous les sens du terme, qui sait. J'ai hérité de la longue crinière brune de ma mère, chevelure commune à toutes les femmes de ma famille depuis des générations. Mes grands yeux verts, perçants et sans une lueur de pitié, je les dois à mon grand-père paternel, un homme extrêmement cruel et ambicieux. j'ai la bouche pleine et charnue de ma mère et le nez droit et fin de mon père. Ma peau est aussi pâle que de l'albâtre, et presque transparente, comme diaphane. Mais cela est dû à ma condition vampirique, car lorsque j'étais encore humaine j'étais certes pâle, mais toujours plus bronzée qu'actuellement.
Mon style vestimentaire est peu varié passant simplement de la robe victorienne au pantalon de cuir et bustier. J'adore par-dessus tout les matières telles que le velours ou la dentelle, ayant également un petit faible pour la légèreté de la mousseline, si agréable à porter...


Caractère : Je crois que les mots qui me qualifieraient le mieux sont "ambitieuse" et "sans merci". J'ai un fort caractère, il faut dire ce qui est, et j'en fais souvent voir de toutes les couleurs à ceux qui m'entourent. Je comprends mieux, maintenant que j'en parle, pourquoi si peu de gens restent en ma compagnie... Bah, après tout, on est jamais mieux servi que par soi-même, et comme je le dis souvent, mieux vaut être seul que mal accompagné. Vous l'aurez compris, je suis une personne assez solitaire, je m'ennuie à mourir dans un dîner mondain et le monde me rebute. Voilà pourquoi je n'assiste que très rarement à des réunions inter-clans et des congrès Tremere. On dit de moi que je suis fourbe et machiavélique. Mais est-ce mal de partager la pensée de ce philosophe de génie ? La fin ne justifie-t-elle pas les moyens ?
J'ai conscience de mes défauts, je sais par exemple que je suis extrêmenet orgueilleuse, et cela risque de me porter préjudice un jour ou l'autre, mais pour l'instant je m'en moque. Carpe Diem, comme on dit. Surtout que j'ai toute la vie devant moi, non ?
Mis à part ces quelques défauts, je reconnais aussi mes grandes qualités. par exemple... Et bien... Je suis bien éduquée, très polie, et... Et bien, je crois bien que c'est tout, en fait. Ah, la dure réalité ! Toujours meilleure dans le mal que dans le bien ! Enfin, c'est loin d'être un problème...



Histoire :


Je suis née en 1472 à Angers, dans le nord de la France. Depuis toute petite, j’ai toujours été passionnée par la magie. La magie noire, de préférence. Mes parents, très croyants, ont rapidement eut peur de moi. Etais-je si traumatisante ? Je ne le saurais probablement jamais. Il s’avère cependant que dès l’âge de 14 ans je maniais déjà à la perfection les différents rituels permettant d’invoquer divers démons de toutes catégories confondues. J’avais également acquis le pouvoir de manier le feu à ma guise, pouvoir déjà considéré comme démoniaque à l’époque. A quinze ans, ma famille m’envoya dans un couvent, soi-disant pour me remettre sur le chemin de Dieu. Je m’en échappai aussitôt pour me rendre chez un sorcier dont j’avais entendu parler dans le domaine ésotérique comme du plus grand sorcier de tous les temps, celui qui avait trouvé le secret de la vie éternelle. On disait en effet qu’il n’avait pas vieilli en cent quatre-vingt ans d’existence. Devant un tel miracle, je restai incrédule malgré mon statut de sorcière. Voilà donc pourquoi je me devais de lui rendre visite. Il vivait dans un coin reculé de la France, en Auvergne, dans une petite maison en pleine forêt. Apparemment il ne souhaitait pas être dérangé. Et pourtant, un soir de Septembre, je frappai à sa porte. J’attendis un long moment, pas de réponse. Alors que j’allais recommencer, la porte s’ouvrit sur un homme semblant avoir une quarantaine d’années, vêtu d’une longue robe de mage noire. Il me détailla d’un air morne, puis lâcha :
« Je vous attendais plus tôt que ça. »
Puis il s’effaça pour me permettre d’entrer. Je me demandais intérieurement s’il m’avait pris pour une autre personne, et sans que j’eus formulé cette interrogation à voix haute, il me répondit qu’il savait qui j’étais et que ce n’était nullement pas hasard si je me trouvais en ces lieux à cet instant précis. Il m’expliqua que dès ma naissance il m’avait choisi comme apprentie, ayant vu mes dons avant même que je naisse. J’appris ainsi que tout ce que je croyais avoir appris par moi-même, c’était lui qui me l’avait enseigné par la pensée, à distance. Il ajouta que j’avais encore bien des choses à apprendre, et je restai donc chez lui pour peaufiner mon apprentissage. Cependant, une chose étrange me frappa rapidement. Il n’apparaissait que le soir. Lorsque je lui en parlai, il me dit que je comprendrai pourquoi en temps voulu.
Trois ans plus tard, alors que je venais de fêter mes dix-neuf ans, il me convoqua dans une pièce dont il m’avait toujours interdit l’accès. Dans cette pièce étaient dispersées un grand nombre de bouteilles emplies d’un épais liquide rouge sombre qui m’apparut comme étant du sang. La pièce était hermétiquement close, pas une seule lumière n’y pénétrait. Pour que je puisse y voir, il avait amené une bougie, qu’il avait ensuite posé sur une commode. Il m’expliqua tout : les vampires, la Camarilla, le Sabbat, les différents clans, la magie vampirique... Je compris que j’allais être initiée. J’étais à la fois terrorisée et aux anges. J’allais gagner la jeunesse et la vie éternelle, mais à quoi allais-je devoir renoncer en échange ? Je l’ignorais.


L’étreinte se passa plutôt bien, dans l’ensemble. Mon sire me fit prêter serment de toujours servir mon clan, les Tremere, dans le mal et la souffrance, puis ce fut l’étreinte proprement dite : mon sang dans sa bouche, son sang dans la mienne, une douleur fulgurante, puis le noir total. Le mauvais moment fut ma renaissance à la nuit. J’avais été enterrée dans une sorte de caisse en bois de pin à plusieurs mètres sous terre. Lorsque je me réveillai, je pris peur. Je n’avais jamais été claustrophobe, mais jamais je n’avais été enfermée dans un espace si restreint. Je me débattis un long moment dans l’étroit cercueil avant de réussir à briser le panneau de bois au-dessus de moi. Aussitôt, une épaisse flopée de terre me recouvrit. Après maints efforts je réussis à m’extirper hors de terre. Haletante, les vêtements en lambeaux, je n’étais pas au bout de mes surprises. Dehors, face à moi, mes parents. Attachés à un bûcher encore éteint. Près d’eux, mon sire, tenant dans sa main une torche allumée. Il me sourit.
« Désolé, tu dois en passer par là. »
Et il approcha la flamme du bûcher, qui s’embrasa. Mes parents hurlaient de peur et de douleur. Malgré le mal qu’ils m’avaient fait, j’ai tenté de les sauver. Mais mon sire me tenait fermement, si bien que je fus condamnée à les voir mourir sous mes yeux, carbonisés. Ce spectacle morbide m’avait rendue comme folle furieuse. Je me retournai vers mon sire et le frappai au visage, laissant sur sa joue une longue estafilade. J’avais envoyé les ongles. Au lieu de s’en fâcher, il éclata de rire et me félicita. Il me dit de me servir de ma colère comme catalyseur, ainsi toute magie deviendrait plus facile. Il ajouta que mon éducation était terminée, que je savais tout ce dont j’avais besoin. Puis il déposa un baiser paternel sur mon front avant de s’en aller dans la nuit noire, me laissant seule devant sa maison, désormais mienne.


J’appris un jour qu’une purge avait été organisée pour exterminer tous les Tremere du Sabbat, dont je faisais partie. J’avais à cette époque plusieurs goules ainsi que des familiers tels que des gargouilles et autres hideuses créatures. Mes serviteurs m’aidèrent à me cacher, me mettant en torpeur, puis me réveillant une fois la chasse terminée.
je vis toujours dans la maison que m'a légué mon sire. Après tout, j'y ai tant de souvenirs qu'il m'est impossible de la laisser. Et puis, trop de choses importantes sont encore là-bas, trop de choses que je ne pourrais déplacer car les bouger serait dangereux. Alors je reste, ou du moins lorsque je suis en France, dans la région.
Pour me nourrir, je séduis mes proies, jouant avec jusqu'à ce qu'elles me tombe entre les bras comme de dociles petits agneaux sacrificiels. J'aime particulièrement le goût des vierges fraîchement corrompues, mais il est si difficile de trouver une vierge, de nos jours...
J'aime ma solitude, si bien que je n'ai jamais envisagé d'avoir un infant. Je me contente de quelques goules et gargouilles en tous genres. Ces bestioles sont bien plus fidèle que n'importe qui sur cette sombre Terre...



Signes particuliers : Néant.

Armes : Je possède peu d'armes, mais elles me sont chères : une dague sacrificielle dont la garde représente un amas d'ossements et la lame est gravée de runes celtiques ; un antique Smith&Wesson gravé à mes initiales et une petite bague porte-poison dans laquelle je mets du cianure. J'avoue être restée à l'ancienne mode...


Mon perso est : Mental

Force : 2
Dextérité :2
Vigueur : 1
Intelligence : 4
Astuce : 3
Manipulation : 3
Calme : 3
Disciplines : Thaumaturgie (Noire : Magie du Sang), Augure et Domination
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